Du 14 au 16 octobre 2016, s'est réuni à La Haye un tribunal fictif de 5 juges autour de témoins et d'experts dans le but de juger "si Monsanto est responsable de violations des droits humains, de crimes contre l'humanité et d'écocide". Ce terme, qui n'est pas reconnu en droit pénal international, décrit l'atteinte la plus grave à l'environnement.